A force d’écrire des commentaires sur le blog…
Posté par ENO filles le 9 février 2013
Pour vous remercier de votre présence quotidienne sur le blog et vos commentaires un peu rares mais toujours appréciés.
Si la vie est actuellement un obstacle à ma présence sur ce blog, mes pensées vont chaque jour vers ceux qui me sont fidèles et me soutiennent dans cette aventure.
Alors allez-y plumes légères, encouragez-moi encore plus avec vos petits témoignages d’amitiés, et faites-le ici .
Ah! Je vois! Vous n’y arrivez pas?
A force d’écrire des commentaires sur le blog votre souris chauffe…
Je me suis trompée?
Vous n’avez rien écrit ces derniers temps?
Mais oui! Regardez !
Et ça sent le brûlé…
Si vous ne le croyez pas …cliquez … ICI
Allez! Sans rancune… C’était juste un peu d’humour..
Superbe parabase* Paule.
, mais je viens de passer ce matin (à quel prix !) 1 h 1/2 à déblayer ma montée de garage, ai pu sortir ma voiture et faire mes courses et quand je suis revenu 1 h plus tard c’est pour constater qu’un schtroumph (?) avait remis pratiquement tout le volume que j’avais enlevé péniblement précédemment
. Il ne me restait plus, donc, qu’à me changer les idées et consulter ton Blog ! Tu vois à quoi cela tient ? 
Tu ne dois pas te décourager ; je suis persuadé que ton « œuvre » est appréciée de tous ceux et celles qui viennent consulter ton Blog. Tel le coryphée*, tu donnes l’attaque aux choristes… euh, aux lecteurs. mais il est difficile de franchir le pas qui transforme le spectateur en acteur !
Allez, il y aura bien quelqu’un qui, sans être atteint de scribomanie*, te signalera sa présence pour te conforter dans ton travail. Mais n’oublie pas que « pour dire quelque chose, il faut avoir quelque chose à dire ! »
Ici je me « noie » sous la neige. Bon je sais c’est hors sujet et tout le monde doit s’en ficher
Un Papy Qui Compte
Parabase : partie d’une comédie grecque où le poète s’adressait lui-même aux spectateurs.
coryphée : chef de chœur ou de pupitre dans le théâtre grec.
Scribomanie : manie d’écrire.
Merci Papy
Je ne me décourage pas puisque je suis encore là. Et même si tu étais le seul à me consacrer un peu de ta plume et de ton temps, je me sentirais honorée de ton attention et de ton amitié.
Surtout si j’ai un peu contribué à te changer les idées.
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